Christophe DAVINCondoléance
Sous ses airs bourrus, c'était un fondant au chocolat...costaud à l'extérieur, tendre et chaleureux à l'intérieur.
Sans en faire trop de pub, Willy a été pour moi, lors de mes premiers pas en politique, il n'y a pas si longtemps, très présent. Il m'a prodigué de précieux conseils, a été presque paternaliste et certainement bienveillant., m'appelait régulièrement pour se tenir au courant, m'indiquait la route qui, à ses yeux, était à suivre. Je l'ai découvert, non pas le rustre Deneu qu'on voulait bien présenter, mais le sympa camarade toujours attentif.
Je suis loin de vous (en vacances dans le sud) et ne pourrai pas lui rendre hommage, en tous cas physiquement, mais pouvez-vous lui glisser pour moi que je l'aimais beaucoup, vous me feriez un grand plaisir.
Je vous embrasse tellement.